La Forêt du vieux Quercus
Syana prit la direction du contrefort Est du mâs et s'engouffra dans ce qui reste d'une meurtrière face a l'immense forêt de Fouesnant, la végétation a toujours été contenue vers les limites extérieures, et le long des grand chemins qui la traversent, certains ont l'age de pierre raconte-t'-on dans le village.La jeune femme décida donc de suivre le grand chemin pendant environ 1 km et attirée par une percée de lumière elle s'enfonça dans la verdure.
Au milieu de nul part les arbres s'écartent pour laisser place a une petite clairière présidée en son centre par un majestueux Quercus torturé par le temps mais tout aussi vaillant qu'un jeune spécimen.l'herbe y est verdoyante et immaculée.
La jeune sorcière s'approcha du tronc immense et pris quelques minutes pour en faire le tour et l'observer.Son liège était marquer par l'eau , la pluie, le vent, et les périodes de sècheresse.les premières branches étaient comme calleuses mais ensuite les divisions se fesait harmonieusement et équitablement.
Les seules choses choquantes, étaient la direction de son arborescence, courbée presque a faire la plus majestueuse des révérences digne d'un grand balais intemporel et la partie aériennes de ses racines qui retenaient de gros bloc de pierres fines et érigées vers le ciel.A certains endroits, a la croisées des racines se trouvaient des amas de feuilles qui redevenaient offrande a Gaïa naturellement comme le cercle perpétuel du cycle de la vie ou des saisons.
Pas très loin de ce majestueux témoin des ages passés, la terre était mise a nue, cet a cet endroit que Syana choisit pour planter le buisson sacré, héritage des temps passer de la tradition.Comme a son habitude, la sorcière creusa un trou de quelques centimètres de ses mains blanches et y installa le rameau. rassembla la terre et la tassa de ses pieds.
Comme la coutume lui avait été enseignée, elle pris quelques feuilles qu'elle mis dans son sac medecine,Syana était entre deux tradition de par ses parents, sa mère était prêtresse d'Avalon et son père chamane, celui ci lui avait enseigner le savoir des plantes et du coup elle ne sortait jamais sans son sac medecine qui contenait des herbes et des pierres chères a ses yeux.
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La main dans le sac, les pieds sur sur la mousse, Syana était en adéquation avec le monde des élements constituant cette foret et sa vie. Elle semblait reconnaitre au détour d'un vieux cypres planté là par quelque magie naturelle et tout biscornu, ses amis du petit peuple qui accompagnais sa vie d'enfant, mais aujourd'hui l'heure n'était pas a l'amusement mais aux prises de décisions importantes.